> NOM DE FAMILLE: Meadows voila un nom que tu portes avec fierté signe de ton appartenance à ce clan dont la renommée n'est plus à prouver cela même malgré l’humiliation des Hollows > PRÉNOM(S): Aigneas signifie agneau en celtes, animal dont tu as l'apparence avec ton regard doux et ton sourire angélique. Mais attention comme ton second prénom, Rose, tu sais te montrer tenace derrière ton masque de femme bien éduquée.  > ÂGE: 22 printemps que tu foules cette terre d'Ecosse que tu considère comme tienne. Les années passent et se ressemblent pourtant l'enfant à laissé place à une femme à l'apogée de sa beauté. > LIEU DE NAISSANCE: Comme tous les membres de ta famille tu as poussé tes premiers cris dans la demeure familiale à Wingtown. > CLASSE SOCIALE: Fille de Fingal Meadows. > ASCENDANCE: La question ne se pose même pas lorsqu'on jète un coup d’œil à ta lignée, sang pur bien entendu > PROFESSION: La richesse de ta famille te permet de n'être qu'une noble dans l'attente d'être une future épouse dévouée. Manque de chance, tu n'es pas ce genre de femme que l'on garde dans une prison d'or. Depuis peu tu t’intéresse à herboristerie peut être une future vocation ou lubie comme l'aime le dire ton cher paternel.> SITUATION MARITALE: Promise à un homme dont l'identité t'es parfaitement inconnu si ce n'est son nom qui n'est autre que celui d'un clan aussi respectable que le tien. Nous avons besoin d'alliance voila ce que répète tes parents alors que tu te mues dans un silence pour calmer la colère qui couve dans tes veines.  > BAGUETTE: 21 cm faite de bois de rose et composé d'une plume de phœnix. Une baguette qui te correspond à la perfection la beauté d'une rose qui renferme un feu explosif..  > PATRONUS: Ton patronus n'est autre qu'une biche. Sauvage et farouche à l'apparence fragile. > ÉPOUVANTARD: Une araignée pareille à la taille d'un homme qui t'enroule dans son linceul alors que ses pattes parcourent ton corps. > PARTICULARITÉ SPÉCIALE: réponse ici.

> PSEUDO & PRÉNOM: Lya/Jenny. >ÂGE: 27 ans.> RÉGION: Dans le sud où le soleil règne    >DISPONIBILITÉ SUR LE FORUM: 5/7 mais surtout les week ends. > COMMENT ÊTES-VOUS ARRIVE ICI : Sur bazzart. > UN AVIS SUR LE FORUM ? Mais quelle beauté ! Une merveille        > AVATAR: réponse ici.  > PERSONNAGE: Inventé > CREDITS: Dakini. > DERNIER MOT ? Faisons des bébés tous ensemble   .

Des bruits de pas pressés résonnaient dans les couloirs de la résidence des Meadows alors qu’assisse sur une chaise à l’ombre, une jeune femme appréciait ces instants si précieux de la vie. Une main posée sur son ventre arrondi, elle rayonnait du bonheur d’être enfin mère. Les épreuves et les fausses couches l’avaient tant de fois éprouvées pourtant elle touchait enfin à son but ultime et l’enfant qui donnait de léger coup de pied en était la preuve. Distraite, elle jetait tout de même de nombreux regards envers ces employés en pleine effervescence pour la préparation du solstice d’été et de la fin qui allait prendre vie ce soir en sa demeure. Des teintures aux couleurs chaudes s’étendaient dans la salle de réception dont les portes étaient grandes ouvertes pour l’occasion. Dehors le jardin était à son apogée et les senteurs des innombrables fleurs lui donnait le tournis à croire que son être était prisonnier des tumultes du bonheur qui l’animait en cet instant. Peu à peu la fête prit place chez les Meadows alors que la fraicheur de la nuit future commençait à se faire sentir tout en la forçant à se lever pour rejoindre des appartements. Kennocha, était une femme à la beauté froide avec sa longue chevelure d’or et ses yeux clairs qui semblaient percer l’âme de ce qui l’approchait. Etait ce la grossesse qui la rendait aussi rayonnante ? Dans tous les cas dans sa robe composé de différentes couches de voilages pourpre, elle était époustouflante. Au bras de son tendre époux, elle parcourut la salle souriante et avenante comme la maitresse de maison qu’elle devait être. Oh oui en cet instant, la femme du laird était heureuse en sirotant son sirop distraite, plongée dans l’euphorie de la fête. Le piano donnait une atmosphère festive et l’envie de faire quelques pas de danse en compagnie de son époux la poussa malgré son gros ventre à tourbillonner à ses côtés. Tout était tellement parfait ! Après cette soirée, le repos sera de mise pour la belle dont l’enfant était annoncé dans trois semaines. Pourtant au détour d’une valse, une douleur commença à irradiait son ventre, sans pour autant l’arrêtait alors que tous les regards étaient tournés dans sa direction. Un coup de pied vigoureux tout simplement …. Malheureusement quelques pas plus tard, la douleur se fit plus intense alors que respirer devenait un supplice lors des crises. Non … L’euphorie laissa place à l’effroi alors qu’au bras de son mari elle quittait la salle d’une démarche qu’elle voulait normale pour rejoindre ses appartements. La sage-femme fut appelée en urgence. Prisonnière de ses draps, Kennocha connaissait enfin la réalité de la naissance. Elle avait attendu des années pour enfin donner la vie pourtant en cet instant alors que la sueur dégoulinait le long de son front fiévreux, elle sentait sa propre vie la quitter. Son souffle saccadé se mêlait à ses cris alors que la douleur se répercutait dans les moindres centimètres de sa chair. Encore un dernier effort … Un cri qui se mêle à un second bien plus aigu puis la fin de la douleur pour un temps. Moment de répit à la saveur de victoire alors que l’enfant est pressé contre son sein. La fatigue est belle et bien présente pourtant Kennocha ne peut s’extasier face à l’être qu’elle tient contre sa peau. Sa fille … Certes un fils aurait un plus mais en voyant le nourrisson s’agitait elle peut que laisser la joie l’enivrait. Le premier enfant d’une grande lignée voila le souhait de notre belle qui se laisse aller contre son oreiller une fois l’enfant retiré de ses bras. De nombreux enfants frôleront ce sol … délicieux rêve dont lequel elle plongea après cette nouvelle épreuve mais qui ne deviendra jamais réalité.

« J’ai fait tout ce qui était en mon pouvoir. A présent je laisse votre fille entre les mains de Dieu. » Le jugement du médecin était son appel alors qu’il quittait la chambre de l’enfant à la respiration sifflante. A son chevet sa mère tenait sa main à croire que par ce simple contact elle maintenait la vie dans le corps de cette enfant qu’elle chérissait par-dessus tout. La vie était si fragile encore plus lorsqu’elle se retrouvait à lutter dans le corps si frêle d’un enfant. Aigneas n’avait jamais été une enfant à la santé robuste au contraire même. Depuis toute petite, elle enchainait les maladies plus ou moins grave pourtant même la faiblesse de son être était palpable, elle avait montré au fil des années que sa combativité n’était plus à prouve. Enfant farouche et joueuse, elle rayonnait des choses simples de la vie et même son assiduité envers ses précepteurs n’était pas des plus apprécié elle restait une élève correcte mais surtout une grande sœur protectrice et aimante envers sa jeune sœur. 6 ans les séparait pourtant les deux sœurs étaient complices. Malheureusement depuis quelques jours les rires avaient laissé place à un silence morbide depuis qu’Aigneas était clouée au lit sujette à une fièvre. Les hallucinations étaient nombreuses pourtant dans les rares moments de lucidité de l’enfant elle se montrait réconfortante auprès de sa mère malgré ses 12 ans. Ses paroles étaient douces quoique saccadée face à l’effort qui lui était demandé pour formuler un simple mot. Plongée dans le noir Aigneas attendait que tout ceci cesse enfin. Dehors le jardin l’attendait pourtant elle se trouvait prisonnière d’un corps qui irradiait la souffrance. Son sang bouillant s’écoulait dans ses veines tout lui faisant perdre peu à peu la tête. Avait-elle conscience que son dernier souffle était peut-être proche ? Pas vraiment dans les rares moments de lucidité, elle se montrait optimiste et innocente face à la vie dont elle ne connaissait que le début. Malgré le sourire de sa mère, elle voyait dans ses yeux l’inquiétude et la douleur d’une mère ce qui amplifiait sa propre souffrance. Alors elle souriait encore plus avant que l’obscurité reprenne son pouvoir sur elle. Dès lors ce fut l’attente … Puis la fièvre diminua. On clama au miracle alors que tous la pensaient morte. Un sursis ou un renouveau ?